Les années étudiantes entre copains à Londres. La fête et les passions d’un soir. Une jeune Anglaise solaire qui fait tourner les têtes…
Et dix ans plus tard… le passé qui resurgit !
Avec Zoé Carrington, Jim boucle avec maestria sa « Trilogie des ex ». Un album lumineux qui vous secoue comme un amour de jeunesse !
Même s’il s’en défend, Simon, la trentaine mal assumée, vit dans la nostalgie de sa jeunesse folle.
Difficile d’oublier les années étudiantes, les fêtes et les excès à Londres, avec ses inséparables potes, Rotthenberg et JP. Difficile, surtout, d’oublier Zoé, la belle et fougueuse petite Anglaise dont il fut passionnément épris avant que celle-ci ne tombe sous le charme de Léo, le riche et flamboyant héritier écossais.
Mais voilà que dix ans plus tard, Zoé resurgit, pour inviter ses vieux amis français aux trente ans de Léo, à Londres, dans le manoir familial.
Les souvenirs vont alors remonter à la surface et les événements prendre un tour que personne n’aurait pu imaginer.
Si le talent de Jim pour nous conter les amours contrariées et les corps qui se désirent n’est plus à prouver, ce nouveau diptyque apporte une nouvelle fraîcheur à l’œuvre prolifique de l’auteur. Une fantaisie débridée, une bonne dose d’humour et de potacherie, un scénario qui déboule au rythme d’un Eurostar dans le tunnel sous la Manche…
C’est un véritable « very bad trip » à la française !
A retrouvez le 30 janviers dans vos librairies !
Ajoutez à cela la sortie sur les écrans de Belle Enfant qui marquera ses débuts en tant que réalisateur… encore plus que les autres, 2024 pourrait bien être l’année de Jim !
Emily, une jeune femme vivant loin de sa famille dysfonctionnelle, apprend que sa mère a tenté de se suicider en Italie.
Tout comme ses deux sœurs, elle se précipite pour la voir, mais en chemin elle apprend qu'il s'agissait en fait d'une fausse tentative de suicide, un prétexte pour amener ses filles à venir la voir et tenter de retisser les liens.
Tel est le point de départ de Belle Enfant, le premier long métrage réalisé par Jim qui sortira sur les écrans en 2024. Produit par Jim et Octopolis, ce road trip féminin, sensible et attachant, bénéficie d’un casting haut de gamme, avec Marine Bohin, Baptiste Lecaplain, Michaël Cohen, Marisa Berenson…
L’interview de Jim :
Après Marie dans Une nuit à Rome, et Hélena, voici maintenant Zoé qui fait tourner les têtes… Qu’est-ce que cette jeune et belle Anglaise apporte de nouveau dans cette « Trilogie des ex » ?
Elle est plus fantasque, plus libre je crois. Elle est plus jeune, plus joyeuse. Je la vois comme une boule d’énergie, souriante, électrique. J’avais envie de créer un personnage qui ne pense qu’à l’instant T, qui ne navigue qu’à l’instinct.
Dans chacune de ces histoires, on a l’impression que les hommes vivent dans la nostalgie de leurs vingt ans… et qu’ils ne maîtrisent pas grand-chose.
Qu’ils ne maîtrisent pas grand-chose, ça c’est sûr (rires). Les femmes décident à chaque fois à leur place. Après, j’avoue que le fond m’échappe. Je me contente de suivre des personnages qui vivent leur vie, de m’attacher à eux, de parler à travers eux… et comme ces personnages sont imprégnés de mes ressentis, il n’est pas étonnant que des choses remontent… même si, je ne serais pas contre avoir à nouveau vingt ans, mais avec mon cerveau d’aujourd’hui…
On a aussi l’impression que les femmes sont plus fortes, plus déterminées…
Plus joueuses, aussi, elles mènent leur vie. Et les garçons s’accrochent, ne choisissent pas. J’aime bien l’aspect un peu « loser » des mecs, je crois que je trouve ça profondément romantique… Courir après quelqu’un qu’on estime plus haut que soi, plus inaccessible…
Avec Zoé, il y a une dimension humoristique, voire par moments carrément burlesque, qu’il n’y avait pas dans les autres albums.
Exactement, je voulais une série sur l’ivresse. L’ivresse due à l’alcool, celle des émois trop forts, qui font battre le cœur à un rythme trop élevé. Il y a une part de comédie dans Zoé Carrington.
Ton actualité, c’est aussi le cinéma. Peux-tu nous parler du film Belle Enfant, qui sortira en 2024 ?
On a toujours besoin d’un projet irréalisable pour rester éveillé, et là, je tenais mon projet insensé (rires). Écrire, tourner, porter un long métrage se déroulant en France et en Italie, avec de vrais acteurs… L’erreur est de penser que faire du ciné est comme faire de la BD. À part raconter une histoire et penser cadrage… absolument tout est différent, c’est un autre monde. D’autres règles. Tellement de gens impliqués, tellement de défis. Bamboo a soutenu Belle Enfant dès le début, s’impliquant également dans la production. Grand merci ! C’était une façon différente mais tellement enrichissante de raconter une nouvelle histoire, humaine et chaleureuse.
