À l'occasion de la sortie du dyptique L'Élixir de dieu, rencontre avec le scénariste Gihef !
Comment est né ce projet ?
La plupart du temps, on se triture les méninges pour trouver un sujet, un pitch intéressant. Et parfois, rarement, ça vous tombe sur la tête comme par magie (le Saint-Esprit ?). C’était le cas avec L’Élixir de Dieu. J’ai eu cette idée assez simple, qui tenait en une seule phrase : « Et si des nonnes étaient contraintes de fabriquer de l’alcool de contrebande durant la prohibition ? »
La plupart du temps, on se triture les méninges pour trouver un sujet, un pitch intéressant. Et parfois, rarement, ça vous tombe sur la tête comme par magie (le Saint-Esprit ?). C’était le cas avec L’Élixir de Dieu. J’ai eu cette idée assez simple, qui tenait en une seule phrase : « Et si des nonnes étaient contraintes de fabriquer de l’alcool de contrebande durant la prohibition ? »
Pourquoi avoir choisi l’époque de la prohibition pour raconter cette histoire ?
Je n’ai pas réellement choisi l’époque, puisque celle-ci faisait partie inhérente du concept dès le départ. Alcool de contrebande égale forcément prohibition.
Je n’ai pas réellement choisi l’époque, puisque celle-ci faisait partie inhérente du concept dès le départ. Alcool de contrebande égale forcément prohibition.
T’es-tu renseigné sur les différentes manières de distiller de l’alcool ?
Oui, beaucoup. Et ça a été un véritable casse-tête d’intégrer les étapes de manière réaliste dans le scénario. J’ai un peu triché sur certains éléments, notamment la durée de fermentation. Ceci dit, je suis parvenu à trouver des alternatives crédibles, surtout dans la mesure où l’alcool fabriqué par nos religieuses est tout à fait artisanal et enfin, à l’époque, les critères ne correspondaient absolument pas à ceux que l’on exige actuellement. Je pense donc que, globalement, ça tient la route.
Oui, beaucoup. Et ça a été un véritable casse-tête d’intégrer les étapes de manière réaliste dans le scénario. J’ai un peu triché sur certains éléments, notamment la durée de fermentation. Ceci dit, je suis parvenu à trouver des alternatives crédibles, surtout dans la mesure où l’alcool fabriqué par nos religieuses est tout à fait artisanal et enfin, à l’époque, les critères ne correspondaient absolument pas à ceux que l’on exige actuellement. Je pense donc que, globalement, ça tient la route.
Quelles ont été tes inspirations pour ce scénario ?
Je me suis évidemment beaucoup plongé dans de nombreux documents de l’époque, pas mal de films et documentaires sur la prohibition notamment. Évidemment, il y a un chouia de Sister Act, même si j’ai voulu m’en écarter, difficile de ne pas y penser. Et certainement une dose de Breaking Bad.
Je me suis évidemment beaucoup plongé dans de nombreux documents de l’époque, pas mal de films et documentaires sur la prohibition notamment. Évidemment, il y a un chouia de Sister Act, même si j’ai voulu m’en écarter, difficile de ne pas y penser. Et certainement une dose de Breaking Bad.
T’es-tu inspiré d’actrices existantes pour créer les personnages principaux ?
Il faudrait poser la question à Christelle Galland. Pour ma part, je dirais que le personnage que j’avais le plus précisément en tête (physiquement) était celui de sœur Bethany, la joviale sœur afro-américaine qui se lie d’amitié avec l’héroïne. Je me suis d’ailleurs beaucoup amusé avec elle. C’est sans aucun doute mon personnage favori.
Il faudrait poser la question à Christelle Galland. Pour ma part, je dirais que le personnage que j’avais le plus précisément en tête (physiquement) était celui de sœur Bethany, la joviale sœur afro-américaine qui se lie d’amitié avec l’héroïne. Je me suis d’ailleurs beaucoup amusé avec elle. C’est sans aucun doute mon personnage favori.
Qu’est ce qui attend Holly pour la suite et la fin de L’Élixir de Dieu ?
Une avalanche de problèmes. Sans trop en dévoiler, un personnage fait surface à la fin du tome 1, et il va être le vecteur d’une angoisse supplémentaire pour les pensionnaires du couvent.
Une avalanche de problèmes. Sans trop en dévoiler, un personnage fait surface à la fin du tome 1, et il va être le vecteur d’une angoisse supplémentaire pour les pensionnaires du couvent.
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